jeudi 23 avril 2009

(Synthèse 5): Les indigènes et les droits des animaux

La perte de la faune sauvage est sévère. Les indigènes jouent un rôle important dans leur sauvetage.

Le moratoire international sur la chasse à la baleine s’efforce de différencier entre les buts marchands et ceux des autochtones pour vivre et se nourrir. Les habitants de l’Arctique sont inextricablement liés avec leur environnement. Leur mode de vie dépend de la prise d’animaux. La protection des droits des animaux est vue comme un assaut à cette culture. Autrefois, en Wyoming les blancs ont abattu quelque 60 millions de bisons pour enlever les peuples aborigènes les symboles essentielles de leur spiritualité et source d’alimentation.

Les environnementalistes organisent des campagnes contre la chasse aux baleines et aux phoques. La solution se trouvera quand les autochtones auront le droit de prendre des animaux par la méthode traditionnelle ce qui exclut l’emploi de fusils de haute portée ou de barques motorisés. Les bêtes ne seront pas considérées comme des richesses renouvelables asservies à l’abus humain. On focalisera l’attention sur la nature, plutôt que sur l’humanité et la science. Pour éviter l’extinction le Park National de Yellowstone prend en charge des bisons. Ils prospère mais sont tués pour ne pas infecter le bétail.

Pour conclure, la survivance des indigènes est reliée à celle des animaux. Il faut trouver un moyen pour améliorer leur mode de vie tout en préservant les droits des animaux.

mercredi 15 avril 2009

(Synthèse 4) Simplification de l’orthographe: rapprochement ou perte?

La polémique séculaire se passe depuis des siècles, entre les rapprochistes voulant réduire l’écart entre l’écrit et l’oral, et les puristes tentant de préserver le français comme il toujours était.

Selon les Modernes, il ne faut pas perdre la langue française, qui se caractérise par des artéfacts sémantiques. Autrefois, les honnêtes hommes se distinguaient par leur maîtrise d’elle. Mais aujourd’hui l’absence de l’évolution de l’enseignement se manifeste dans les fautes commises par les élèves. La crainte des adultes, et la tendance de se détourner du français chez les étrangers, témoignent de l’absurdité de sauvegarder les singularités parfois apparues de la discrétion des imprimeurs.

Les Anciens s’accordent pour dire que les liens historiques et étymologiques créent des relations émotionnelles avec l’orthographe. Le manque de maîtrise peut handicaper l’élève dans les études supérieures et dans la vie quotidienne. La simplification cachera la situation épouvantable du système éducatif. Une pensée construite et cohérente, pleine de la rigueur et de la nuance, le pouvoir de la réflexion et d’exercer la mémoire commence avec cet apprentissage. Sinon, comme en Allemagne, la simplification apporte la dyslexie, un fossé entre les générations et l’ignorance du patrimoine littéraire.

Parmi leurs camarades européens les écoliers français ont commis une moyenne de fautes. De la même façon, la simplification de l’orthographe balance entre la volonté de nous faciliter les choses, et un désir de les garder comme elles sont.

(235 mots)

mardi 14 avril 2009

(Synthèse 3) Gérer le retour des expatriés

La situation de l’expatrié revenant en France se complique notablement. Elle se caractérise par quelques difficultés non seulement pour le salarié mais aussi chez son employeur. Selon l’étude d’IMS, il y a de multiples imbrications entre quelques enjeux stratégiques et la réussite d’un bon retour.

Le salarié se retrouve en position d’un novice, à cause de la structuration rigide des entreprises. Il est regardé comme un favorisé par ces camarades. L’entreprise ne l’aide pas avec son recommencement. Le déficit de statut est dur pour toute la famille. Sa condition peut s’améliorer s’il trouve un poste tenant compte de son expérience, profite de l’indépendance, et ignore des nouvelles méthodes de travail acquis à l’étranger. Pour ses enfants, il doit banaliser la rentrée, et leur préparer pour le choc culturel.

L’entreprise, de sa part, découvre que cet emploi coûte trop cher. D’ailleurs il est difficile à lui réintégrer après son absence longue. Mais afin de garantir son efficacité en retour, les sociétés comme Lafarge fournissent un authentique plan de carrière, établissent les règles claires et créent les profils des postes convenables aux compétences acquis.

Avec ces mesures, il est possible de mettre en place un programme efficace, articulant différentes actions, pour la bonne rentrée d’un expatrié.

(215 mots)

mardi 7 avril 2009

(Synthèse 2) Le mariage: le couple, la famille, et la société

Le mariage joue un rôle profond dans la vie sociale. La société témoigne de certaines évolutions : pour le couple, la famille et la société en générale.

La plupart des mariages ont lieu dans le même milieu, mais il y a les unions mixtes surmontant le décalage interculturel. Les qualités particulièrement remarquables parmi ces dernières sont l’intensité, la fascination, l’engagement émotionnel, et la projection d’une vision sublimée. Le couple aboutit à un compromis dans la laïcité, mais souvent c’est la femme qui accepte la religion de son mari. Le manque d’enfant où les défis de la vie professionnelle montre qu’il est fait des hauts et des bas. Les événements forts orientent les premières années du couple. Mais la désidéalisation remplace la réalité. La manière de s’adapter du couple dépend de la préparation qu’il a reçue pour réussir son parcours.

Autrefois, le mariage était considéré non seulement comme sacré mais aussi éternel. Dans le cadre de la famille, le couple respectait l’idéal de la vie conjugale. Malgré la valeur persistante du mariage religieux, les notions d’aujourd’hui sont nuancées et réalistes. La désapprobation des parents peut avoir les conséquences inattendues : soit la tolérance, soit une amplification de conflit.

Le nombre des mariages est en augmentation de nos jours. Les créateurs des robes de mariées affichent une progression dans leur chiffre. Les éditeurs des guides de l’organisation du mariage ciblent les jeunes pour cerner leurs préoccupations du moment. Alors, le mariage se manifeste vivement de plusieurs façons de la vie quotidienne française.

(244 mots)

lundi 6 avril 2009

(Synthèse 1): L'immigration: d' où viens-t-on, où va-t-on?

Bien que le phénomène migratoire pose des problèmes épineux pour les sociétés d’accueils, s’y trouvent également quelques moyens efficaces pour en faire sortir. On s’interroge au chemin distinctif que l’immigration en France a suivi ces dernières 70 ans, la multitude de défis qui nous assaillent, et cela conduit à imaginer l’établissement d’une politique d’immigration adaptée à ces besoins uniques.

En l’état actuel, le statut d’immigré dépends du lieu de naissance et pas de la nationalité. La tâche d’établir la balance du volume et de la proportion n’est pas simplifiée par les flux entre les sorties (juridique, décès) et les venues. Constatons aussi que la culture nationale se transforme elle-même constamment, conduisant aux controverses comme celles des foulards.

La population d’origine étrangère souffre de conditions plus difficile du travail, étant souvent ouvriers, employés où chômeurs. Moins diplômés, ils touchent moins du revenus que les français. Malgré l’intolérance et la xénophobie, l’avenir soit assuré pour l’immigration, considérant les indicateurs favorables comme assimilation au niveau de la langue (chez les africains noirs), le mariage (les maghrébins), mais reste-t-il aussi des défis (chez les turques).

L’assimilation prends son temps à cause du racisme, qui nourrit des différences réelles et se manifeste comme concurrence dans le marché du travaille, et dans laquelle se cache la frustration et l’antisémitisme.

Une politique alternative s’appuie sur plusieurs mesures. Y compris s’attaquer des vrais délinquants et pas une cible facile (les immigrés illégaux) ; Dessécher le marché par découragement des patrons qui font appel aux clandestins, faciliter les cartes de séjour pour arrêter le mariage blanc, protéger les droits élémentaires et introduire une souplesse des barrières. Ces mesures devraient permettre les étudiants étrangers à rester en France et ajouter valeur à l’économie française.

Pour conclure, il est vrai que le contexte d’immigration est devenu plus difficile aujourd’hui, et une nouvelle politique est nécessaire pour qu’elle réussisse son parcours dans l’avenir.

(237 mots)

lundi 2 mars 2009

(Essai argumenté 06): Les enjeux de la génétique

Il est possible d’augmenter la qualité et la quantité des rendements par la voie génétique. La sélection de gènes dans une même variété, et l’insertion dans la plante de gènes étrangers, sont-ils des bons moyens d’accélérer la transmission d’une qualité propre, ou poserait-il des obstacles inattendus dans l’avenir ?

Les technologies OGM rendent les espèces cultivées plus tenaces à divers types de contraintes environnementales. Le déficit hydrique, la température, la salinité, la toxicité des sols et le manque en éléments nutritifs sont quelques défis surmontés par des OGM.

Mais le brevetage rend plus difficile l’accès aux banques de semences pour les organismes publics de recherche, et même les agriculteurs. La plupart des gens souffrants de faim sont les cultivateurs sans moyens de produire eux-mêmes de quoi alimenter convenablement.

Selon moi, une utilisation plus performante des cycles biologiques du carbone, des nitrogènes et de multiples éléments minéraux au sein des écosystèmes cultivés, avec une application mieux adaptée des découvertes en formant les sélectionneurs de demain sont très important.

Par exemple, Monsanto s’est engagé à doubler la productivité du maïs, du soja et du coton en 2030 par rapport à 2000, à développer des grains qui réduiront d’un tiers les besoins en eau et en compost.

Pour conclure, les OGM actuels ne me semblent pas essentiel et si l’on en développe et si l'on en utilise de nouveaux, il faudra le faire avec circonspection.

(257 mots)

dimanche 1 mars 2009

(Essai argumenté 05): La mode : la liberté ou l’emprisonnement ?

Le style de beauté sort tout droit des pages de magazines sur papier glacé. De sorte qu’elle ne nous laisse pas indifférents et semble parfois inatteignable. Est-ce que la mode nous permet d’atteindre cette idéale de la beauté, ou sommes-nous ses victimes, chercheurs d’un mirage qui ne deviendra jamais réel ?

Il est certain que la mode d’aujourd’hui intègre non seulement nos histoires, nos besoins et nos désirs, mais aussi une culture mondialisée, faite de MTV, d’Internet, et d’images. De nos jours, l'apparence physique est aussi importante que les compétenes artistiques et intellectuelles. Alors s’habiller à la mode permet de s’intégrer facilement dans sa vie sociale et professionnelle.

Cependant, l’intégration dans ce monde superficiel se fait au détriment de nos proches s'ils ne partagent pas nos idées. D’ailleurs, certains ne veulent que se faire remarquer à n’importe qu’elle prix. Ils suivent aveuglement la dictature de la mode, gaspillant leur argent et leurs temps.

Selon moi la mode devient plus en plus une religion. Telle qu’elle est pratiquée par certains elle est une hypocrisie qui privilégie le pouvoir d’achat, en ignorant la majorité qui vit aux marges de ce système.

Il y a beaucoup de réalités différentes - du corps, de la culture, et de l’esprit par exemple - et la mode doit apprendre à les respecter. En tout cas, mieux vaut être gentille et mal vêtue, qu’être machiavélique fashionista!

Pour conclure, j'aimerai que la mode se plie aux exigences des nouvelles générations. Il convient donc de laisser de côté la problématique de la "fonction de la mode " pour imaginer ses nouvelles formes. La mode devrait accueillir plus de diversité pour satisfaire des individus ayant des choix et un mode de vie différent.

(280 mots)

mardi 17 février 2009

(Essai argumenté 04): Maîtriser les sentiments au travail

Il est certain que tout le monde a des cibles professionnelles et affectives. Comment trouve-t-on l’équilibre au bureau, étant ni trop émotionnel ni excessivement aseptisé ?

D’après moi, la réussite est liée avec une bonne ambiance au travail. Nos capacités intellectuelles et notre équilibre intérieur dépendent de notre aptitude à gérer judicieusement les émotions. Au cas où l’affectif remplace la confiance, la bonne marche au travail peut en être affecté . En d’autre termes, traiter ses collègues comme une seconde famille peut se retourner contre soi, comme ce qui s’est passé avec « Tara » dans le témoignage fourni.

Par ailleurs le monde professionnel est un monde sérieux. Il faut trouver son rythme sans outrageusement s’exposer ni endommager ses relations de travail. De plus, la vigilance, la pudeur, et la clarté nous servent de support. La psychologue avoue pourtant qu’un individu stable avec sa propre identité minimise le danger de reproduire les difficultés dans sa vie professionnelle.

En conclusion, il faudrait avantager les échanges aimables et légers: ne pas trop tomber dans l’affectif, fixer les limites, rapporter tout au factuel, et exiger plus sans perdre sa bonne humeur. Tout ceci sont les clés pour éviter les excès affectifs. Je pense que ce conseil restera précieux partout dans le monde, étant donné que le lieu de travail est toujours important.

(215 mots)

lundi 16 février 2009

(Essai argumenté 03): À quoi bon punir?

Il est évident que les écoliers en France connurent des punitions pendant plusieurs siècles. Alors que les premiers manuscrits les interdisant, ne sont apparus qu’à la fin du 16ième siècle. L’article demande « Quelles étaient les sévices aux écoliers au cours des dernières 500 ans, et comment les punitions se justifiaient à chaque époque ? »

D’une part, les jésuites ont exclus la giffle de l’arsenal corrigeant, d’autre part les frères des écoles chrétiennes avaient certains instruments pour se distinguer du monde familial. Non seulement dans le but de la préservation de la supériorité de la fonction enseignante, mais encore d'utiliser des mortifications pour que les élèves s'en souviennent. Ceci, tout en citant leur charte pédagogique jusqu'a la bible.

En revanche, les historiens avouent qu’avec Rousseau, l’idée de l’enfant comme « une promesse » est développée. De la même façon, la discipline toute militaire pendant la révolution, la laïcisation et l’émergence de la bourgeoisie ont changé la nature des répressions. Il ne fait pas de doute que la réflexion des parents, les rébellions lycéennes, et la pensée hygiénistes ont clarifiés la conscience de l’inutilité de cette pratique.

À mon avis le droit d’Homme, et surtout celui d’enfant et de la femme doivent être respectés. Tandis qu’ils nous restent beaucoup de problèmes comme l’esclavage des enfants, leurs exploitations sexuelle et leur enrôlement comme soldats, et absence à l’accès à l’éducation, tout cela me parait pire que les châtiments corporels.

(242 mots)

lundi 26 janvier 2009

(Essai argumenté 02): L'utilisation du vélo en ville et sa cohabitation avec les autres moyens de transports

Le vélo est un moyen de rouler facilement pour effectuer de courte distance. Il ne pollue pas et maintient en bonne santé ceux qui le pratiquent. Les mairies, les entreprises et les administrations prennent des mesures (location, parking et antivol) pour qu'il remplace la voiture.

Cependant, les cyclistes doivent se conformer aux règles comme les automobilistes, impliquant un changement d’attitude à l’égard des agents de la circulation. D’ailleurs, les villes s’assurent que les cyclistes soient en sécurité en leur donnant accès aux couloirs à autobus: ce qui minimisent les possibilités d'accidents.

En d'autres termes, tous les moyens de transport s’imposent sur le même espace publique que nous partageons, en contribuant simultanément à son dégagement. Le défi, c'est de pouvoir désengorger cet espace en utilisant le vélo, qui ne dégage aucune émission à effet de serre. Il nous faut explorer un nouveau protocole afin de sauvegarder la rue pour tout le monde. Le partage de la rue dans le respect des autres, c’est la solution de l’avenir.

Les nouveaux moyens de transports en communs, ont-ils changé le mode de vie et le comportement des gens? Quelles sont les questions qui se posaient, quand le tram et métro ont été introduits ? Piétons, chauffeurs, utilisateurs, autorités s’en occupaient comment ? Il nous faut tirer les leçons du passé afin de mieux intégrer les changements en matière de transport qui arriveront sans doute dans l’avenir.

(228 mots)

dimanche 25 janvier 2009

(Essai argumenté 01): Amour, traditions populaires et réalité des faits

L’homme a toujours modifié l'expression de son sentiment le plus intime, l’amour, avec les changements dans le monde qui l’entoure. A travers les âges, la coutume et la tradition lui ont permis de s’exprimer par l’acquisition de nouveaux symboles sur sa vie amoureuse. Bien que l’expression de l’amour soit exaltée, le sondage d’Ipsos montre que les hommes se comportent d'une manière moins romantique qu’auparavant.

L’incertitude quant à son avenir sentimental le poussait à inventer une mythologie autour de l'amour. L’évolution des traditions est fascinante: le rituel du feu pendant la fête des « Brandons », la coutume « Saudée » en Lorraine, on est arrivé aux messages tendres « Valentines », décorés de cœurs et de Cupidons. À l’époque victorienne, cette tradition était devenue élaborée et très sophistiquée. La génération d'internaute d’aujourd’hui, les cartes virtuelles et la commercialisation des cadeaux n’est qu’une progression inexorable vers l’avenir. Même si les hommes sont indifférents aux films, poèmes, et sérénades, comme le prouve le sondage, les fleurs, les petits cadeaux et la réalisation du fantasme de partenaire est encore en vogue.

Finalement tant qu’il y aura de l’amour, les moyens de l’exprimer apparaîtront. Vivre l’amour, c’est le besoin le plus primaire et l'aspiration la plus noble de l’homme. Il sera intéressant de constater la forme que cette expression prend et comment les changements mondiaux les remodèleront et nous influenceront.

(223 mots)

jeudi 15 janvier 2009

(Prise de position 02): Et le feminisme?

La réflexion sur les rôles hommes-femmes a dépassé son utilité. Nous devons apprendre à vivre en se traitant d’abord comme les être humains. Dans le déséquilibre entre le pouvoir accordé aux hommes et aux femmes, réside une multitude d'horreurs consternantes de nos jours : l'infanticide feminin, les meurtres pour la dot, le salaire inégal pour un travail égal, la violence domestique. De la même façon, y-a-t-il des ennuis moins impressionantes mais endémiques: la misogynie chez les hommes, justifiée comme le machisme.

Bien qu'on s'intéresse aux différences stéréotypés - comment ‘les descendants de Mars et Venus’ pensent et se comportent, avancer d’un pas lent sur le même cercle vicieux produit les mêmes préjugés éculés. D’ailleurs, tolérer les inégalités entre les sexes, sous prétexte de traditions socio-culturelles, ou de la non-ingérence dans les codes ethniques, provenant de la culpabilité postcoloniale, est futile. Il nous reste certaines valeurs universelles : l’amour, le respect et le courage. Elles doivent être soutenues à travers toutes les cultures et traditions. Fermer les yeux sur la souffrance des minorités à cause de pratiques injustes et dépassés, semble être comme le plus grave des délits.

Pourrions-nous avancer à la prochaine étape, celle du “personnisme”? Peut-on arriver aux pronoms applicables à toute l'humanité? Pas plus d’il ou d’elle, car le langage d'aujourd’hui ne réaffirme que le statu quo.

(219 mots)

mercredi 14 janvier 2009

(Prise de position 01): Les pubs et la télévision publique

Ce qui m'intéresse dans ce sujet, c'est l'idée de traiter l'art comme étant au-dessus du commerce. La programmation de la télévision publique, est-elle de l'art? Et les publicités, ne sont-elles que du commerce? Je pense que la ligne qui les sépare s'est estompée. Beaucoup de personnes considèrent les pubs comme une forme d'art et les apprécient, les voient, les célèbrent comme un tableau ou une sculpture.

En revanche, il est tout à fait possible qu'une émission de télé publique soit, au lieu d'artistique: partisane, manipulatrice où machiavélique; qu'elle ne mérite pas l'auréole sacrée qui l'entoure. Donc le débat entre le pur et ce qui le pollue - à savoir, l'argent - n'est pas facilement réductible non plus.

Prenons en considération, le fait que les gens dans les pays développés soient plus ou moins épuisés par la publicité incessante qui dure depuis des décennies. Elle est présente partout dans leurs espaces publics: non seulement à la télé, mais aussi dans les souterrains du métro, par exemple, ils en ont marre.

En Inde, d'autre part, la marche vers le marché capitaliste a commencé, il y a 15 ans. Les indiens sont encore avides de sortir de l'emprise d'un système socialiste, où le gouvernement domine tout, et se noyer dans un système capitaliste, considéré comme le but paradisiaque à attendre. Alors l'idée de l'interdiction des pubs, sur la télévision publique, en prime time même, n'évoquera rien chez la plupart des indiens.

(233 mots)

lundi 12 janvier 2009

Présentation

Je m'appelle Sachin Jain. J'ai 33 ans. J'ai fait mes études d'ingénierie et de management. Je travaille actuellement chez une société d'informatique, dans la vente.

Ma première visite en France, de courte durée (8 jours), était en 2004: sac à dos à travers l'Europe. J'étais ébloui par l’éclat de Paris, et la grandeur de Versailles. Je suis resté chez un ami à Porte de Clignancourt. Egalement, j'ai passé trois jours chez une amie dans le petit village de Montfort-L’amaury.

En 2007, J’ai eu l’opportunité de revisiter la France, de passer 6 mois à Euromed Marseille Ecole de Management dans le cadre d'un programme d'échange avec NMIMS, mon école indienne. Cette fois-ci, je suis allé à Nîmes, Avignon, Cannes (oui, pendant le festival!!), Aix-en-Provence, Cassis, Sormiou, Nice, Grasse. A Paris j'habitais rue de Picpus, près de Bois de Vincennes. Marseille était le hub des vols low-cost de Ryan Air, alors j’ai même pu visiter 11 pays en Europe pendant mon séjour.

A Marseille j’habitais Cité Universitaire, juste à côté des Calanques de Marseille, qui sont magnifiques. A Euromed, j'ai suivi un cours de "Français avancé". J'ai écrit une petite histoire policière qui a été publiée dans l'anthologie Black Marsiho 4. C’était comme un rêve qui s'est réalisé pour moi - je voudrais être écrivain.