La situation de l’expatrié revenant en France se complique notablement. Elle se caractérise par quelques difficultés non seulement pour le salarié mais aussi chez son employeur. Selon l’étude d’IMS, il y a de multiples imbrications entre quelques enjeux stratégiques et la réussite d’un bon retour.
Le salarié se retrouve en position d’un novice, à cause de la structuration rigide des entreprises. Il est regardé comme un favorisé par ces camarades. L’entreprise ne l’aide pas avec son recommencement. Le déficit de statut est dur pour toute la famille. Sa condition peut s’améliorer s’il trouve un poste tenant compte de son expérience, profite de l’indépendance, et ignore des nouvelles méthodes de travail acquis à l’étranger. Pour ses enfants, il doit banaliser la rentrée, et leur préparer pour le choc culturel.
L’entreprise, de sa part, découvre que cet emploi coûte trop cher. D’ailleurs il est difficile à lui réintégrer après son absence longue. Mais afin de garantir son efficacité en retour, les sociétés comme Lafarge fournissent un authentique plan de carrière, établissent les règles claires et créent les profils des postes convenables aux compétences acquis.
Avec ces mesures, il est possible de mettre en place un programme efficace, articulant différentes actions, pour la bonne rentrée d’un expatrié.
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mardi 14 avril 2009
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