mardi 17 février 2009

(Essai argumenté 04): Maîtriser les sentiments au travail

Il est certain que tout le monde a des cibles professionnelles et affectives. Comment trouve-t-on l’équilibre au bureau, étant ni trop émotionnel ni excessivement aseptisé ?

D’après moi, la réussite est liée avec une bonne ambiance au travail. Nos capacités intellectuelles et notre équilibre intérieur dépendent de notre aptitude à gérer judicieusement les émotions. Au cas où l’affectif remplace la confiance, la bonne marche au travail peut en être affecté . En d’autre termes, traiter ses collègues comme une seconde famille peut se retourner contre soi, comme ce qui s’est passé avec « Tara » dans le témoignage fourni.

Par ailleurs le monde professionnel est un monde sérieux. Il faut trouver son rythme sans outrageusement s’exposer ni endommager ses relations de travail. De plus, la vigilance, la pudeur, et la clarté nous servent de support. La psychologue avoue pourtant qu’un individu stable avec sa propre identité minimise le danger de reproduire les difficultés dans sa vie professionnelle.

En conclusion, il faudrait avantager les échanges aimables et légers: ne pas trop tomber dans l’affectif, fixer les limites, rapporter tout au factuel, et exiger plus sans perdre sa bonne humeur. Tout ceci sont les clés pour éviter les excès affectifs. Je pense que ce conseil restera précieux partout dans le monde, étant donné que le lieu de travail est toujours important.

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lundi 16 février 2009

(Essai argumenté 03): À quoi bon punir?

Il est évident que les écoliers en France connurent des punitions pendant plusieurs siècles. Alors que les premiers manuscrits les interdisant, ne sont apparus qu’à la fin du 16ième siècle. L’article demande « Quelles étaient les sévices aux écoliers au cours des dernières 500 ans, et comment les punitions se justifiaient à chaque époque ? »

D’une part, les jésuites ont exclus la giffle de l’arsenal corrigeant, d’autre part les frères des écoles chrétiennes avaient certains instruments pour se distinguer du monde familial. Non seulement dans le but de la préservation de la supériorité de la fonction enseignante, mais encore d'utiliser des mortifications pour que les élèves s'en souviennent. Ceci, tout en citant leur charte pédagogique jusqu'a la bible.

En revanche, les historiens avouent qu’avec Rousseau, l’idée de l’enfant comme « une promesse » est développée. De la même façon, la discipline toute militaire pendant la révolution, la laïcisation et l’émergence de la bourgeoisie ont changé la nature des répressions. Il ne fait pas de doute que la réflexion des parents, les rébellions lycéennes, et la pensée hygiénistes ont clarifiés la conscience de l’inutilité de cette pratique.

À mon avis le droit d’Homme, et surtout celui d’enfant et de la femme doivent être respectés. Tandis qu’ils nous restent beaucoup de problèmes comme l’esclavage des enfants, leurs exploitations sexuelle et leur enrôlement comme soldats, et absence à l’accès à l’éducation, tout cela me parait pire que les châtiments corporels.

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