lundi 16 février 2009

(Essai argumenté 03): À quoi bon punir?

Il est évident que les écoliers en France connurent des punitions pendant plusieurs siècles. Alors que les premiers manuscrits les interdisant, ne sont apparus qu’à la fin du 16ième siècle. L’article demande « Quelles étaient les sévices aux écoliers au cours des dernières 500 ans, et comment les punitions se justifiaient à chaque époque ? »

D’une part, les jésuites ont exclus la giffle de l’arsenal corrigeant, d’autre part les frères des écoles chrétiennes avaient certains instruments pour se distinguer du monde familial. Non seulement dans le but de la préservation de la supériorité de la fonction enseignante, mais encore d'utiliser des mortifications pour que les élèves s'en souviennent. Ceci, tout en citant leur charte pédagogique jusqu'a la bible.

En revanche, les historiens avouent qu’avec Rousseau, l’idée de l’enfant comme « une promesse » est développée. De la même façon, la discipline toute militaire pendant la révolution, la laïcisation et l’émergence de la bourgeoisie ont changé la nature des répressions. Il ne fait pas de doute que la réflexion des parents, les rébellions lycéennes, et la pensée hygiénistes ont clarifiés la conscience de l’inutilité de cette pratique.

À mon avis le droit d’Homme, et surtout celui d’enfant et de la femme doivent être respectés. Tandis qu’ils nous restent beaucoup de problèmes comme l’esclavage des enfants, leurs exploitations sexuelle et leur enrôlement comme soldats, et absence à l’accès à l’éducation, tout cela me parait pire que les châtiments corporels.

(242 mots)

2 commentaires:

  1. Salut! c'est une belle composition, il y a une inclination vers la France dans les exemples, mais j'aimerais lire quelquechose a propos de l'Inde! Neanmoins, tes idees sont explicites et le plan est parfait!!

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  2. Je cherchais un problématique, un plan...

    A mon avis tu saisis toujours très bien le sens du texte et en fais un bon usage. De plus tes essais sont faciles à lire et à comprendre. C'est un atout lorsque je les lis.

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