Le vélo est un moyen de rouler facilement pour effectuer de courte distance. Il ne pollue pas et maintient en bonne santé ceux qui le pratiquent. Les mairies, les entreprises et les administrations prennent des mesures (location, parking et antivol) pour qu'il remplace la voiture.
Cependant, les cyclistes doivent se conformer aux règles comme les automobilistes, impliquant un changement d’attitude à l’égard des agents de la circulation. D’ailleurs, les villes s’assurent que les cyclistes soient en sécurité en leur donnant accès aux couloirs à autobus: ce qui minimisent les possibilités d'accidents.
En d'autres termes, tous les moyens de transport s’imposent sur le même espace publique que nous partageons, en contribuant simultanément à son dégagement. Le défi, c'est de pouvoir désengorger cet espace en utilisant le vélo, qui ne dégage aucune émission à effet de serre. Il nous faut explorer un nouveau protocole afin de sauvegarder la rue pour tout le monde. Le partage de la rue dans le respect des autres, c’est la solution de l’avenir.
Les nouveaux moyens de transports en communs, ont-ils changé le mode de vie et le comportement des gens? Quelles sont les questions qui se posaient, quand le tram et métro ont été introduits ? Piétons, chauffeurs, utilisateurs, autorités s’en occupaient comment ? Il nous faut tirer les leçons du passé afin de mieux intégrer les changements en matière de transport qui arriveront sans doute dans l’avenir.
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