Le vélo est un moyen de rouler facilement pour effectuer de courte distance. Il ne pollue pas et maintient en bonne santé ceux qui le pratiquent. Les mairies, les entreprises et les administrations prennent des mesures (location, parking et antivol) pour qu'il remplace la voiture.
Cependant, les cyclistes doivent se conformer aux règles comme les automobilistes, impliquant un changement d’attitude à l’égard des agents de la circulation. D’ailleurs, les villes s’assurent que les cyclistes soient en sécurité en leur donnant accès aux couloirs à autobus: ce qui minimisent les possibilités d'accidents.
En d'autres termes, tous les moyens de transport s’imposent sur le même espace publique que nous partageons, en contribuant simultanément à son dégagement. Le défi, c'est de pouvoir désengorger cet espace en utilisant le vélo, qui ne dégage aucune émission à effet de serre. Il nous faut explorer un nouveau protocole afin de sauvegarder la rue pour tout le monde. Le partage de la rue dans le respect des autres, c’est la solution de l’avenir.
Les nouveaux moyens de transports en communs, ont-ils changé le mode de vie et le comportement des gens? Quelles sont les questions qui se posaient, quand le tram et métro ont été introduits ? Piétons, chauffeurs, utilisateurs, autorités s’en occupaient comment ? Il nous faut tirer les leçons du passé afin de mieux intégrer les changements en matière de transport qui arriveront sans doute dans l’avenir.
(228 mots)
lundi 26 janvier 2009
dimanche 25 janvier 2009
(Essai argumenté 01): Amour, traditions populaires et réalité des faits
L’homme a toujours modifié l'expression de son sentiment le plus intime, l’amour, avec les changements dans le monde qui l’entoure. A travers les âges, la coutume et la tradition lui ont permis de s’exprimer par l’acquisition de nouveaux symboles sur sa vie amoureuse. Bien que l’expression de l’amour soit exaltée, le sondage d’Ipsos montre que les hommes se comportent d'une manière moins romantique qu’auparavant.
L’incertitude quant à son avenir sentimental le poussait à inventer une mythologie autour de l'amour. L’évolution des traditions est fascinante: le rituel du feu pendant la fête des « Brandons », la coutume « Saudée » en Lorraine, on est arrivé aux messages tendres « Valentines », décorés de cœurs et de Cupidons. À l’époque victorienne, cette tradition était devenue élaborée et très sophistiquée. La génération d'internaute d’aujourd’hui, les cartes virtuelles et la commercialisation des cadeaux n’est qu’une progression inexorable vers l’avenir. Même si les hommes sont indifférents aux films, poèmes, et sérénades, comme le prouve le sondage, les fleurs, les petits cadeaux et la réalisation du fantasme de partenaire est encore en vogue.
Finalement tant qu’il y aura de l’amour, les moyens de l’exprimer apparaîtront. Vivre l’amour, c’est le besoin le plus primaire et l'aspiration la plus noble de l’homme. Il sera intéressant de constater la forme que cette expression prend et comment les changements mondiaux les remodèleront et nous influenceront.
(223 mots)
L’incertitude quant à son avenir sentimental le poussait à inventer une mythologie autour de l'amour. L’évolution des traditions est fascinante: le rituel du feu pendant la fête des « Brandons », la coutume « Saudée » en Lorraine, on est arrivé aux messages tendres « Valentines », décorés de cœurs et de Cupidons. À l’époque victorienne, cette tradition était devenue élaborée et très sophistiquée. La génération d'internaute d’aujourd’hui, les cartes virtuelles et la commercialisation des cadeaux n’est qu’une progression inexorable vers l’avenir. Même si les hommes sont indifférents aux films, poèmes, et sérénades, comme le prouve le sondage, les fleurs, les petits cadeaux et la réalisation du fantasme de partenaire est encore en vogue.
Finalement tant qu’il y aura de l’amour, les moyens de l’exprimer apparaîtront. Vivre l’amour, c’est le besoin le plus primaire et l'aspiration la plus noble de l’homme. Il sera intéressant de constater la forme que cette expression prend et comment les changements mondiaux les remodèleront et nous influenceront.
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jeudi 15 janvier 2009
(Prise de position 02): Et le feminisme?
La réflexion sur les rôles hommes-femmes a dépassé son utilité. Nous devons apprendre à vivre en se traitant d’abord comme les être humains. Dans le déséquilibre entre le pouvoir accordé aux hommes et aux femmes, réside une multitude d'horreurs consternantes de nos jours : l'infanticide feminin, les meurtres pour la dot, le salaire inégal pour un travail égal, la violence domestique. De la même façon, y-a-t-il des ennuis moins impressionantes mais endémiques: la misogynie chez les hommes, justifiée comme le machisme.
Bien qu'on s'intéresse aux différences stéréotypés - comment ‘les descendants de Mars et Venus’ pensent et se comportent, avancer d’un pas lent sur le même cercle vicieux produit les mêmes préjugés éculés. D’ailleurs, tolérer les inégalités entre les sexes, sous prétexte de traditions socio-culturelles, ou de la non-ingérence dans les codes ethniques, provenant de la culpabilité postcoloniale, est futile. Il nous reste certaines valeurs universelles : l’amour, le respect et le courage. Elles doivent être soutenues à travers toutes les cultures et traditions. Fermer les yeux sur la souffrance des minorités à cause de pratiques injustes et dépassés, semble être comme le plus grave des délits.
Pourrions-nous avancer à la prochaine étape, celle du “personnisme”? Peut-on arriver aux pronoms applicables à toute l'humanité? Pas plus d’il ou d’elle, car le langage d'aujourd’hui ne réaffirme que le statu quo.
(219 mots)
Bien qu'on s'intéresse aux différences stéréotypés - comment ‘les descendants de Mars et Venus’ pensent et se comportent, avancer d’un pas lent sur le même cercle vicieux produit les mêmes préjugés éculés. D’ailleurs, tolérer les inégalités entre les sexes, sous prétexte de traditions socio-culturelles, ou de la non-ingérence dans les codes ethniques, provenant de la culpabilité postcoloniale, est futile. Il nous reste certaines valeurs universelles : l’amour, le respect et le courage. Elles doivent être soutenues à travers toutes les cultures et traditions. Fermer les yeux sur la souffrance des minorités à cause de pratiques injustes et dépassés, semble être comme le plus grave des délits.
Pourrions-nous avancer à la prochaine étape, celle du “personnisme”? Peut-on arriver aux pronoms applicables à toute l'humanité? Pas plus d’il ou d’elle, car le langage d'aujourd’hui ne réaffirme que le statu quo.
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mercredi 14 janvier 2009
(Prise de position 01): Les pubs et la télévision publique
Ce qui m'intéresse dans ce sujet, c'est l'idée de traiter l'art comme étant au-dessus du commerce. La programmation de la télévision publique, est-elle de l'art? Et les publicités, ne sont-elles que du commerce? Je pense que la ligne qui les sépare s'est estompée. Beaucoup de personnes considèrent les pubs comme une forme d'art et les apprécient, les voient, les célèbrent comme un tableau ou une sculpture.
En revanche, il est tout à fait possible qu'une émission de télé publique soit, au lieu d'artistique: partisane, manipulatrice où machiavélique; qu'elle ne mérite pas l'auréole sacrée qui l'entoure. Donc le débat entre le pur et ce qui le pollue - à savoir, l'argent - n'est pas facilement réductible non plus.
Prenons en considération, le fait que les gens dans les pays développés soient plus ou moins épuisés par la publicité incessante qui dure depuis des décennies. Elle est présente partout dans leurs espaces publics: non seulement à la télé, mais aussi dans les souterrains du métro, par exemple, ils en ont marre.
En Inde, d'autre part, la marche vers le marché capitaliste a commencé, il y a 15 ans. Les indiens sont encore avides de sortir de l'emprise d'un système socialiste, où le gouvernement domine tout, et se noyer dans un système capitaliste, considéré comme le but paradisiaque à attendre. Alors l'idée de l'interdiction des pubs, sur la télévision publique, en prime time même, n'évoquera rien chez la plupart des indiens.
(233 mots)
En revanche, il est tout à fait possible qu'une émission de télé publique soit, au lieu d'artistique: partisane, manipulatrice où machiavélique; qu'elle ne mérite pas l'auréole sacrée qui l'entoure. Donc le débat entre le pur et ce qui le pollue - à savoir, l'argent - n'est pas facilement réductible non plus.
Prenons en considération, le fait que les gens dans les pays développés soient plus ou moins épuisés par la publicité incessante qui dure depuis des décennies. Elle est présente partout dans leurs espaces publics: non seulement à la télé, mais aussi dans les souterrains du métro, par exemple, ils en ont marre.
En Inde, d'autre part, la marche vers le marché capitaliste a commencé, il y a 15 ans. Les indiens sont encore avides de sortir de l'emprise d'un système socialiste, où le gouvernement domine tout, et se noyer dans un système capitaliste, considéré comme le but paradisiaque à attendre. Alors l'idée de l'interdiction des pubs, sur la télévision publique, en prime time même, n'évoquera rien chez la plupart des indiens.
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lundi 12 janvier 2009
Présentation
Je m'appelle Sachin Jain. J'ai 33 ans. J'ai fait mes études d'ingénierie et de management. Je travaille actuellement chez une société d'informatique, dans la vente.
Ma première visite en France, de courte durée (8 jours), était en 2004: sac à dos à travers l'Europe. J'étais ébloui par l’éclat de Paris, et la grandeur de Versailles. Je suis resté chez un ami à Porte de Clignancourt. Egalement, j'ai passé trois jours chez une amie dans le petit village de Montfort-L’amaury.
En 2007, J’ai eu l’opportunité de revisiter la France, de passer 6 mois à Euromed Marseille Ecole de Management dans le cadre d'un programme d'échange avec NMIMS, mon école indienne. Cette fois-ci, je suis allé à Nîmes, Avignon, Cannes (oui, pendant le festival!!), Aix-en-Provence, Cassis, Sormiou, Nice, Grasse. A Paris j'habitais rue de Picpus, près de Bois de Vincennes. Marseille était le hub des vols low-cost de Ryan Air, alors j’ai même pu visiter 11 pays en Europe pendant mon séjour.
A Marseille j’habitais Cité Universitaire, juste à côté des Calanques de Marseille, qui sont magnifiques. A Euromed, j'ai suivi un cours de "Français avancé". J'ai écrit une petite histoire policière qui a été publiée dans l'anthologie Black Marsiho 4. C’était comme un rêve qui s'est réalisé pour moi - je voudrais être écrivain.
Ma première visite en France, de courte durée (8 jours), était en 2004: sac à dos à travers l'Europe. J'étais ébloui par l’éclat de Paris, et la grandeur de Versailles. Je suis resté chez un ami à Porte de Clignancourt. Egalement, j'ai passé trois jours chez une amie dans le petit village de Montfort-L’amaury.
En 2007, J’ai eu l’opportunité de revisiter la France, de passer 6 mois à Euromed Marseille Ecole de Management dans le cadre d'un programme d'échange avec NMIMS, mon école indienne. Cette fois-ci, je suis allé à Nîmes, Avignon, Cannes (oui, pendant le festival!!), Aix-en-Provence, Cassis, Sormiou, Nice, Grasse. A Paris j'habitais rue de Picpus, près de Bois de Vincennes. Marseille était le hub des vols low-cost de Ryan Air, alors j’ai même pu visiter 11 pays en Europe pendant mon séjour.
A Marseille j’habitais Cité Universitaire, juste à côté des Calanques de Marseille, qui sont magnifiques. A Euromed, j'ai suivi un cours de "Français avancé". J'ai écrit une petite histoire policière qui a été publiée dans l'anthologie Black Marsiho 4. C’était comme un rêve qui s'est réalisé pour moi - je voudrais être écrivain.
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